• Cette lettre peut vous surprendre
    Mais sait-on ? peut-être pas
    Quelques braises échappées des cendres
    D'un amour si loin déjà

    Vous en souvenez-vous?
    Nous étions fous de nous

    Nos raisons renoncent, mais pas nos mémoires
    Tendres adolescences, j'y pense et j'y repense
    Tombe mon soir et je voudrais vous revoir

    Nous vivions du temps, de son air
    Arrogants comme sont les amants
    Nous avions l'orgueil ordinaire
    Du "nous deux c'est différent"
    Tout nous semblait normal, nos vies seraient un bal
    Les jolies danses sont rares, on l'apprend plus tard
    Le temps sur nos visages a soumis tous les orages
    Je voudrais vous revoir et pas par hasard

    Sûr il y aurait des fantômes et des décors à réveiller
    Qui sont vos rois, vos royaumes ? mais je ne veux que savoir
    Même si c'est dérisoire, juste savoir
    Avons-nous bien vécu la même histoire ?

    L'âge est un dernier long voyage
    Un quai de gare et l'on s'en va
    Il ne faut prendre en ses bagages
    Que ce qui vraiment compta
    Et se dire merci
    De ces perles de vie
    Il est certaines
    Blessures au goût de
    Victoire
    Et vos gestes, y reboire
    Tes parfums, ton regard
    Ce doux miroir
    Où je voudrais nous revoir


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  • Adios
    j'aim'rai te revoir
    qui sait
    rien n'est vraiment loin
    pour qui n'oublie pas le chemin

    Adios
    j'aim'rai te revoir
    l'appel
    de ma liberté
    a tant de visages
    de passage
    sur la terre loin
    de toute nostalgie

    Au hasard de la vie
    le regard d'une fille
    enlevée par son cavalier noir
    jusqu'aux remparts illuminés
    le soir
    où toute la ville a dansé

    Bonjour
    reviens-moi toujours
    jamais
    mon coeur n'oubliera
    tout l'amour qui lui vient de toi
    le plus beau cadeau de la vie
    la joie
    surtout quand le ciel est gris

    Bonjour
    Adios!

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  • et à quel prix ?

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  • ... les chaussures étaient prometteuses,
                             la nuit fut courte et très agitées...

    Un petit café rapide au petit matin, un baiser gêné.
    Un au revoir sans lendemain, et puis, ce petit gout de trop peu qui reste en travers de la gorge.

    Putain de vie.


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  • Bonsoir Coquine.

    J'ai décidé ce soir d'essayer de t'amuser.
    Je me lance donc dans l'exercice difficile de te deviner.

    Je dirais brune quoique j'aurais préféré blonde.

    Plutot jolie même si tu t'en défend, le tout couronné de belles formes.

    Un brin garconne et éfronté, j'imagine, caché, une grande sensibilité.

    Un personne ouverte au monde mais si seule à la fois.

    Un écrin de bonheur qui n'attend que le soleil pour briller.

    Une peau soyeuse qui n'attend qu'une main pour se dé-livrer.

    Je distingue, à la lumière de cette lune blafarde, ton petit nez, tes lèvres, et cette petite mèche qui te tombe toujours sur les yeux.

    De bonne éducation et d'un caractère pourtant docile je sens la rebelle qui sommeille et se reveille parfois pour les causes perdus.

    Comme il doit être bon, Coquine, de croiser ton chemin.
    Comme ce doit être doux de se reveiller dans tes bras.
    Comme il doit être bon de vivre pret de toi.

    J'espere avoir pu déclencher sur tes levres une ébauche de sourire.
    Je t'embrasse tendrement demoiselle Coquine.

    J'attend impatiemment de tes nouvelles.

    Patrick

    Ps : si tu n'as pas encore visité mes pages je te propose de parcourir mon espace privé... http://datbase.chez-alice.fr/


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