Comme tu me manques.

Je n'en peux plus de vivre aussi ridiculement et sans éprouver ses embrasements que l'on aimait tant tous les deux.

Je veux encore te prendre dans mes bras et te dire combien je t'aime et combien tu m'as manqué
.

Oui je sais bien, je suis beaucoup plus agé que toi et malgres tout cela ne doit pas arranger les choses mais tu m'as dis un jour m'aimer et je t'ai assuré qu'en retour je t'aimais d'un amour fou moi aussi.

Nous en sommes resté la et aujourd'hui tu es avec ta fille au centre des projets fous  que je nourris et entretien tous les jours.

A la recherche du bonheur perdu que nous méritons tous les deux.

Je t'aime.

Ben voila...

Ce soir ca aurait pu être bien, sympat même... Une petite semaine de boulot, un mercredi soir plutot coulos pour preparer un long week end "qui tombe bien" MAIS NON !

NON, NON, NON, c'etait trop beau, ou trop simple... La soirée règlement de compte est bien plus marante et beaucoup plus source d conflits... On s'éclate en 2 mots (je compte pas l'apostrophe).

Tout est source de départ de feu.

Bof c'est vrais, à force j'y prete plus guere attention en realité (la bouteille était pleine à 19h30...), c'est juste que chercher à se pourrir la vie comme ca peut pas être naturel, c'est un don du ciel c'est pas possible autrement !

 Certain(e) parle de boulet, je crois que sur ce point la je suis super bien équipé (genre luxe toutes options).

Je suis le plus heureux des hommes. Il ne me manque plus que toi mon amour pour être comblé (oui,oui, toi).

Ma vie (la Vie) vaut elle si peu que l'on puisse perdre tout ce temps en niaiseries de ce genre. Je veux avec toi me consacrer à l'essentiel et faire l'amour tous les soirs comme aux premiers jours.

A la régulière.

 Punaise, ce soir je suis gaté. 1 h pétante de reproches montre en main. De quoi douter sérieusement de son comportement et de ses valeurs.

 Tout semblait pourtant bien se passer dans le petit ronronnement quotidien si désiré et voila que le volcan se réveille ce soir sous pretexte que je ne suis pas rasé et que j'ai les cheveux un peu long...

 Moi j'aime bien les cheveux longs (et blonds ou rouges ;-) mais s'en est trop, l'affront est trop insupportable et d'un seul coup tout s'effondre. Tous les reproches accumulés, poussés par 2 wisky coca, se précipitent à l'assaut de ma pov tête. Des pans entiers de "bonnes résolutions" tombent à l'eau et se voient lamimé par se sourd piétinement de reproches incessant et répétés (ben oui pour tenir une heure faut un peu - voir beaucoup - de redite, je suis pas un monstre quand même...).

 Et c'est parti pour les litanies habituelles, les maladresses, les non dits, les attentes, tous les trucs qui sont plus la...

Alors moi j'écoute parceque, à bien réfléchir, j'ai plus grand chose à dire. Je me dis que c'est un mauvais moment à passer. J'ai même plus envie de raler pour la forme. Je pense que c'est un signe, le signe.

 Bien sur c'est un test, le périodique test mensuel qui doit servir à mesurer ou on en est. C'est tout bon l'indicateur vire au rouge et les jours à venir vont être bien pourries, le top du top.

Ce soir, un peu plus que tous les soirs, je reve d'autre chose, tu le sais bien, et, secrètement je reve que toi aussi...

Comment pouvoir t'aider en ce moment ?

C'est maintenant que tu as le plus besoin de quelqu'un, mais tu ne peux compter que sur toi pour assumer toutes ces tâches qui s'accumulent.

Nous sommes si loin l'un de l'autre et mes paroles sont bien impuissantes à résoudre quoi que ce soit en fait.

Je me sent si inutile de ne pouvoir t'être d'une quelconque utilité. C'est un comble n'est ce pas.

Et toi qui parle si peu, qui n'exprime que si peu tes sentiments... Comment savoir ou nous en sommes ? comment savoir ce que tu penses de moi et de mon affection pour toi? Comment se sortir de nos ornières respectives si ce n'est en nous parlant comme au tout début, sans détours, avec toute la plus grande franchise possible sur nos attentes et nos "projections" futur...

Tu me manques tellement.