• Je ne pense qu'à toi

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  • Je ne voulais que t'aimer...

    Mes guibolles endomagées m'ont porté au dela de tout espoir.
    Je compte en Km les distances parcourues mais tu t'en fou, et tu as certainement raison.
    Moi, je m'en moque. Je ne regrette absolument rien Valentine. pas un instant passé près de toi, pas un mot dit ou chuchotté, pas un écrit, pas une seconde, pas un pas, pas une goutte de pluie, pas une douleur...

    Tu ne comprendras certainement jamais ce qui pouvais m'animer et combien je pouvais t'aimé. Cela te dépasse surement et c'est peut être la seule chose d'ailleur car tu es d'une rare intelligence.

    Tant pis pour moi : on ne vie qu'une fois, et je ne peux m'attarder plus longtemps sur ce cruel echec sans risquer de perdre la raison, "...car il n'y a pas de raison..."


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  • C'est d'ici que je tai passé mon dernier coup de téléphone Valentine.

    Au plus proche de ton travail, au plus proche de toi.

    Tu m'as gratifié de ton "Bonjour" puis d'un "oui" suivi de la coutumière tonalité modulée de france télécom.

    Voila tout ce que tu as voulu me donner. Après tous ces courriers, tous ces je t'aime, toutes ces photos de toi, les caresses sur ton corps, dans ton corps. Toutes ses confidences impudiques, érotiques, ses fantasmes partagés. Nos "petits buissons" campagnards lorsque tu étais dans le sud... nos soirées mains dans les mains, tes regards, tes sourires, ton bonheur éclatant.
    Nos inquiétudes aussi et puis, à l'heure de ton départ pour Paris, ce déchirement de mon coeur pris en flagrant délit d'amour. D'un amour inconnu, incommensurable... J'ai bien cru me noyer dans cet immense désespoir.

    Ce soleil touché du doigt, de la main, de la bouche... de mon coeur.

    Ensuite ce fut nos larmes partagées... Enfin je découvris que tu avais un coeur (bien enfoui, bien caché mais bien la) et qu'il pleurait de moi aussi. Tu m'aimais donc Valentine et ce fut donc le plus beau jour de ma vie.
    Sur ce quai de gare nous ne faissions plus qu'un. Je te serrais dans mes bras à t'en étouffer.

    Et puis les journées ont passé, les mois, les années... Ta porte s'est un beau jour refermée sur les braises de mon amour pour toi, un certain 20 juin 2006. C'est comme ca que tu fonctionnes parait il !  Et bien pas moi : mon amour pour toi etait intemporel et le restera à jamais.

    Bien sur j'ai été tenté de poster au monde entier ces photos de toi, tes courriers... pour montrer combien cette issue etait injuste... mais je n'ai pas eu ce courage (ou cette lacheté).

    Je suis donc monté te voir, Valentine, pour parler de tout cela avec toi, pour que tu m'aides à y voir plus clair, que tu m'aides à refermer moi aussi cette porte, mais ta fierté et ton coeur redevenu pierre ont eu raison de ma démarche.
    Tu n'as plus voulu de mon amour, encore moins de mon amitié.

    Je n'y comprend plus rien ! 

    Alors aujourd'hui, de retour en province, j'ai je coeur qui saigne. Une hémoragie que je ne n'arrive pas à contenir. Comment faire pour ne plus souffrir.

    Y a t'il une solution à tout cela. Y a t'il une issue de temps à autre.

    Comment faire pour trouver son autre ? Je vais avoir besoin de 1000 ans de hasard... la barre est si haute maintenant...

    Peut on être heureux ?


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  • Alors voila,

    Je monte cette semaine te rejoindre.
    Je serais la à la sortie de ton travail.

    Il pleuvra, forcement. La météo ne se trompe jamais ces jours la. Ben au moins, se sera pratique si jamais...

    Je verrais bien quelle tournure prendrons alors les évènements.
    Au point ou j'en suis de toutes facons.

    Qui ne tente rien n'a rien. Devant l'échec des mots...

    Marcher à ta rencontre. Te regarder droit dans les yeux, accrocher ton regard. Te dire que je t'aime plus que tout, sans détours.
    La persuader de mon désir de tout quitter pour vivre à ses cotés.

    Lui donner confiance en moi, confiance en nous.

    ...


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  • Celui ci aussi Valou est tout à fait dans la lignée de nos preferences.

    Bouleverser les convenances ne nous souciait aucunement. Voila qui nous ressemble bien.

    Et puis tout cet amour à porté de main, juste à cueillir pour celui qui sait tendre la main vers l'autre, le ressentir, le prendre comme il est, sans compromis, sans commerce...

    Tu me manques. Je t'aime tant.


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